Les deux grandes sources d’inspiration de Victor Boissel sont la vie et le rêve.
De la vie il dit : « Elle me révèle des évènements et des comportements que je me sens obligé de prendre pour exemple. La vie est un auteur incroyablement prolifique et imaginatif. Elle a près de quatre milliards d’années et je sais rendre hommage à cette aînée."
Du rêve il dit : « Le rêve s’impose, sans raison apparente. Il choisit de relier deux phénomènes dépareillés et de trouver cela tout à fait naturel. C’est parfaitement déraisonnable. Et c’est précisément pour cela qu’il faut l’y aider. »
D’autres informations, de divers ordres, quoique souvent artistiques, sont accessibles sur son site et sur celui de son son projet actuel :
VictorBoissel.comLes Parias de Babylone—
Vous pouvez écrire à Victor Boissel ici :
Victor Boissel a un univers et un style qui lui sont propres, sur ce point les lecteurs sont unanimes.
Il joue ainsi les guides et emmène son lecteur sur les sentiers agités de son univers. Et aussi exotique et fantasmagorique que soit cet univers, le lecteur s'y trouve chez lui et ailleurs en même temps. En usant d’innombrables observations — qui s’étendent du comportement des civilisations jusqu’à l’intime — Victor Boissel révèle mille facettes familières du monde avec une finesse rare.
Victor Boissel laisse souvent le travail de description des personnages à son lecteur, il se contente de lui montrer l’attitude qu’un personnage a adoptée dans l’action. Ainsi, au bout de quelques actions, le lecteur se fait sa propre idée du caractère d’un personnage… et au fil des situations il lui arrive d’en changer.
Le style de l’auteur est très visuel, suffisamment pour transporter le lecteur dans les espaces, les temps et les atmosphères qu’il a imaginés pour lui.
Trois lecteurs décrivent leur perception du style de Victor Boissel dans Habeas Corpus.
Émilie : « Victor Boissel possède un style, qui n’est pas le copié-collé d’un Eco, d’un Bello ou autre. Son écriture fluide n’est pas sans travail ni sans esthétisme. Bien au contraire. Elle est riche sans être baroque, rythmée sans être brouillonne, intelligente sans être hautaine. »
Frayer : « Quand au style de l’auteur… un vrai plaisir ! j’aime la belle écriture et j’ai été servie. »
Ginette Fanfiole : « L’écriture est fluide, accessible sans être pauvre, riche de formules bien trouvées, l’expression est personnelle. Le déroulé du récit est souple, logique, tout s’enchaîne et s’emboîte parfaitement. »
Enfin, Victor Boissel semble perpétuellement chercher à marier l’esthétique à la dystopie. Quand il signe un ouvrage, c’est qu’il veut nous présenter un des enfants nés de cette surprenante union.